Nom ─ Eris Âge ─ 24 ans Anniversaire ─ 31 janvier Quartier d'origine ─ Le quartier boisé. Métier ─ Inventrice & exploratrice à ses heures perdues. Adhésion ─ Son adhésion est complexe. Elle se fiche d'un peu tout.
Musique de fond
Réputation
Eris n'est pas quelqu'un que l'on remarque vraiment, sauf peut-être pour ses nombreuses cicatrices, mais elle demeure assez discrète. On la connaît en grande partie pour la boutique qu'elle tient et elle a su ce faire un nom chez les rêveurs, mais pour le moment cela ne va pas plus loin. C'est quelqu'un d'ordinaire en somme. Qui plus est, elle a bien d'autres occupations ou préoccupations.
Joueur
Pseudo ─ Trinity (Abs) Âge ─ 21 ans Avatar ─ Original de Pirate-Cashoo
Questionnaire
Depuis combien de temps as-tu rejoint les Rêveurs ? ─
« D'aussi loin que ma mémoire remonte, j'en ai toujours fais parti. En réalité, le professeur en était un et je ne fais que suivre une voix toute tracée. Ceci étant, c'est avant tout une voix qui me convient. Je me sens à ma place parmi eux, sans réellement être une des leurs. Complexe, vous ne trouvez pas ? »
Quelle raison t'a poussé à le faire ? ─
« Aucune. C'était comme et ça l'avait toujours été. Je me devais d'y demeurer. Enfin, je crois. »
En quoi consiste ton rang ? ─
« Je ne crois pas que je possède réellement un rang. J'ai simplement un métier, il contribue plus ou moins au groupe, mais pas seulement. C'est avant tout pour moi-même que je fais tout cela. Par passion. Par envie. Un peu aussi par désir de survie. Je fabrique donc toute sorte d'objets qui sortent tout droit de mon imagination et je les mets à profit pour les rêveurs, ainsi que pour des clients. Il faut bien avoir de l'argent pour vivre. On me passe parfois commande et je m'exécute, cependant tout à un prix, qui soit palpable ou non. »
Te rends-tu souvent sur le terrain ? ─
« Je pense que c'est plutôt évident, bien sûr que oui. Je ne peux pas m'en passer d'ailleurs. C'est un besoin. D'abord pour mon travail et mes recherches, mais aussi parce que c'est vital. C'est devenu essentiel, cela me donne un sensation de liberté que je dois conserver. Je ne connaissais pas vraiment ça avant. »
Que penses-tu de la monarchie des Maîtres, du bellicisme des Rafleurs, de la persécution des Chimères et des aspirations des Rêveurs ? ─
« Personnellement, je suis perdue. Je n'a jamais vraiment été confrontée à tout cela et aujourd'hui, me voilà perdue. Je n'ai pas plus de haine ou d'empathie pour les que pour les autres. Étrange dites-vous ? Mais je ne peux pas donner mon avis sans aucun savoir, sans aucun lien. Je veux juste gagner plus de libertés encore, du moment que l'on me fout la paix, j'en ai rien à faire. Je ne crains pas plus les uns que les autres, je cherche juste à m'enfuir. Comme toujours. C'est bien pour cela que je demeure chez les Rêveurs, pour mieux comprendre et apprendre, mais aussi pour continuer d'agrandir le vaste monde des découvertes. »
Profil Psychologique
Anomalie. Voilà tout ce que tu es, Eris. Tu es difforme et laide. De tes cicatrices, à ses peaux de différentes couleurs qui te constituent et ce, jusqu'à ton sourire un peu trop grand. Tu es laide. Oui. Coquille vide sans origine, un être coincé entre les deux. Tu ignores encore si tu te dois d'être quelque chose. Tu évites ton reflet, tu te fuis comme la peste et pourtant, tu as cette obsession dérangeante pour ton propre corps. Tu tires sur tes fils de façon presque maladive, c'est comme si tu souhaite t'ôter tout ce qui te constitue. Comme si tu veux t'échapper de cette enveloppe charnelle. Si toutefois, elle est réellement la tienne.
Ô Eris, comme tu es douce. Tendre dans tes gestes qui sont souvent incalculables. Car c'est ce que tu es, à la fois imprévisible et candide. Parce que tu es presque une enfant, parce que tu ne connais rien. Tu souris toujours, il émane de toi une aura apaisante, une aura simplicité et gaieté. Un peu trop tactile et parfois naïve, tu as tant d'intelligence en toi et pourtant, tu ne sais pas toujours la mettre à profit.
Eris, tu n'es pas fragile, tu es juste complexe. Lunatique. Un peu colérique sur les bords. Inconnue. Une étrangère. Tu voyages, tu découvres. Tu exiges aussi parfois, capricieuse, pouvant te montrer un peu brutale. Tu as su te trouver une force, elle tire de cet inconnu, de cette ferveur sans nom que tu as face au monde. Oui, Eris tu as cette colère, même si tu ne le montres pas. Tu es frustrée de ne pas trouver des réponses à tes questions.
La vérité, tu ne veux que l'éviter. La vérité, Eris, c'est que tu es malsaine. Ni bonne, ni mauvaise. Tu n'es pas foncièrement méchante, mais tu es loin d'être un ange. Et peut-on réellement t'en blâmer ? Tu n'as rien appris après tout, tu ne connais pas les sentiments. C'est ainsi que tu fais le mal sans le savoir, que tu blesses avec maladresse. Mais toujours, avec amour.
Oui, tu es malsaine dans ta curiosité et dans tes sensations. Dans ta manière de t'approche des autres et de te saisir d'eux d'une façon ou d'un autre. Un peu trop tactile, parce qu'il faut que les choses te soient palpables. Parce que tu ne connais pas bien les émotions et malgré toute ta fascination en les éprouvant pour la première fois, tu ne te nourris que d’impressions. De Perception. Comme un animal, tu n'as pas de limites. Tu ne les connais pas.
Ô comme tu déranges, Eris. Ô comme tu perturbes, Eris. Ta vue n'est pas plaisante, mais c'est bien plus profond que cela. Ce ne sont pas non plus tes mauvaises manières. C'est juste un tout. Tu es une erreur, étrange mélange d'excentricité et de mensonge. Parce que tu es faite de failles et que le monde te ment. Petit poison gangrené pleine de franchise et si difficile à cerner. Joli mirage.
Toutefois, pire que tout, Eris dans ce vide et ce rien, dans ce manque, tu te troubles. Tu es comme l'enfant qui naît, comme la fleur qui éclot. Douce, mais hantée. Il n'y pas de bon en toi, pas de mal, juste une flamme qui s'évanouit et qui demande chaque jour durant à être ravivée. C'est dur, tu souffres. Beaucoup. Souvent. Tout le temps.
Tu existes. Tu subsistes.
Histoire
■ Chapitre I ■ L'incendie
Cendres et blessures. Chaleur dévorante.
Il faisait nuit noire lorsque le feu s'était déclaré. Les flammes vacillantes dansaient, enflammant le ciel et l’illuminant d'un camaïeu orangé qui se reflétait sur les nuages. Tout était à la fois si beau et si effrayant devant ce brasier. L'air manquait, la fumée étouffait tout, obstruant la vue par le même occasion. On savait d'avance que tout était perdu. La vie s'amenuisait peu à peu et personne ne viendrait en aide. L'aide était bien trop rare. Ici, c'était chacun pour sa peau. Pourtant, à côté du corps de ta défunte mère, certainement terrassée par l'épuisement et l'étouffement, tu te trouvais là. Bien que tu eusses certainement quelques semaines, tu étais encore bien trop jeune pour pouvoir marcher. Seuls tes cris, ou devrais-je dire tes braillements, pouvaient alerter le voisinage. Ton père ? Il avait péri dans les flammes, sauvant sa famille, tout comme il avait toujours sauvé les autres lorsqu'il le pouvait.
Ce destin funeste. Oui, il s'était emparé de toi, t'avait privé d'un amour et d'un cocon familial. Jamais tu ne pourrais les rencontrer, jamais tu ne connaîtrais leurs noms, pas plus que tes frères et sœurs. Si toutefois tu en possèdes., ou possédais. Mais si le destin avait été crue envers toi, il allait cependant t'amener à faire une rencontre décisive ce soir. Une de celles qui changent des vies à jamais.
Nul ne sait réellement si la venue de cet homme était le fruit du hasard, mais en grandissant tu t'étais persuadée du contraire. Avec lui, rien n'était impossible. Lui ? C'était le Professeur. Tu ne le connaissais que sous ce pseudonyme et tu ne t'étais jamais intéressée à son vrai nom. Tout ce que tu savais, c'est qu'il était un honorable scientifique avant de sombrer dans la prison. Un perdu, mais aussi un rêveur, dont le parcours était toutefois pavé d'erreurs. Et d'un soupçon de folie.
■ Chapitre II ■ L’initiation
Savoir. Voilà ce qu'il t'inculquait jours après jours. Pas de manières, pas de politesse, tu étais l'enfant qu'il n'avait jamais eu et son esprit dérangé avait bien d'autres cibles. Tu étais celle qui la projetait dans l'avenir. Oh bien évidemment, tu étais bien trop jeune pour t’imprégner de ses sentiments étranges, tu t'étais simplement amourachée de lui. Comme un enfant de son père. L'inverse était rai d'ailleurs, pourtant il ne te serait ps dans ses bras, il ne t'embrassait pas. Il t'aimait, c'était un fait, mais nul n'aurait su dire qu'elle forme d'amour il nourrissait à ton encontre.
Qu'elles étaient donc ses intentions ? Tu ne le savais pas. Il ne t'avait jamais rien dit, le jour où il t'avait recueillie, n'était jamais évoqué. Comme un avide secret qu'il chérissait. Non lui, il se contentait de faire briller tes yeux avec des mixtures étranges et un peu de cuivre. Il t'enseignait, te transmettait son savoir. Ses merveilles.
Enfant, ce furent les seules choses qui te constituèrent. Tu grandis ainsi dans les non-dits et le silence, dans la science et les expériences. Le Professeur parvint à nourrir ta matière grise, il t'expliqua même comme c'était là d'où venait. Qu'est-ce tu aurais aimé le voir ! Il avait l'air empli de merveilles, alors qu'ici bas, tout n'était que pauvreté. Un véritable calvaire. Malgré tout, le véritable calvaire tu ne le connais pas encore, mais cela ne saurait tarder. Ton chemin était tortueux, parsemé d'étrangetés auxquelles se livrait ton mentor. Comme toujours il ne t'expliquait rien, il se contentait d'agir tandis que que son esprit instable plongé peu à peu dans la folie. Il ne souhaitait que ton bonheur, toutefois dans le bonheur qu'il cherchait à t'offrir, tu commençais à comprendre que tu n’étais qu'une étape. Peut-être même une utilité. Non, tu n'étais pas bien vieille, mais ta maturité avait grandit avec les connaissances qu'il apportait.
Pas de liens, pas de souvenirs. Pas de fêtes, pas de complicité. Tu étais encore toute jeune et déjà, tu n'étais rien. Un simple récipient vide, qu'il cherchait visiblement à remplir. Un outil qui n'avait pas pu connaître tous les plaisirs d'une enfance et de sentiments grandissants. Tu étais un peu vide et tu te contentais de suivre, fataliste et obéissante, toute aussi silencieuse que le Professeur. Parce que quoi qu'il en soit, tu ne pouvais compter que sur son bon vouloir. Sans lui, tu serais probablement déjà morte et tu en avais conscience. Tu savais pertinemment que tu n'étais pas comme les autres, mais dans cette maison, la norme n'était pas de la partie et que votre quotidien n'était pas vraiment ordinaire. Parce qu'il n'y avait rien à faire. Juste attendre et tu ne savais faire que ça.
■ Chapitre III ■ L'expérience
Torture. C'est le premier mot qui te vient en bouche désormais. C'est aussi la période qui fut la plus marquante pour toi, parce qu'elle a fait de toi le monstre que tu es aujourd'hui. Oui, un monstre. Voilà ce que tu es. Plus vraiment chimère, puisque tel était le nom que t’avais indiqué le professeur et malgré tout, pas vraiment humaine. Un être hybride. Le fruit d'une tentative et d'un esprit dérangé. Tout au fond de ton être, tu savais que les choses allaient changer. Tu l'avais senti, tu n'y étais cependant pas préparée. Pouvait-on réellement l'être ? Tu n'en étais pas certaines.
Il y avait les bruits. Il y avait ces flashs et ces images. Ce métal froid qui s'emparait de ta peau. L'odeur âpre et étouffantes de quelques produits faits mains, faisant office de détergeant. Il y avait ces drôles de sensations sur ton corps engourdi et à chaque réveil, une nouvelle étape franchie. La première fois déjà, tu avais compris que tu ne serais plus toi-même et qu'il t'avait retiré quelque chose. Une part de toi, ce petit rien irremplaçable. Il te transformait sans même prendre conscience du mal que tout cela pouvait te procurer. Tu n'avais jamais vraiment vécu, tu n'avais pas vraiment eu d'existence, mais désormais tu ne pouvais plus te construire. Pas de cette façon.
Tu te souviens de cette couleur rouge un peu partout, de ces cicatrices de peau boursouflée qui te faisaient souffrir en se refermant. Tu oubliais peu à peu lles souris et le peu de tendresse qu'il t'apportait. Ton esprit s’assombrissait et lui ne voyait plus que par que par l'objectif qu'il s'était fixé. Celui de te sauver. C'était comme si plus rien n'allait, mais est-ce que cela avait vraiment coulé de source auparavant. Non, tu n'en n'étais pas certaine. Oh oui, il ne voulait que ton bonheur, mais il s'était rendu maître de ton destin sans savoir ce que tu voulais vraiment. On dit que l'enfer est pavé de bonnes intentions, ce qui était certain, c'est que de ta vie il en avait fait un enfer. Un mal pour un bien, disait-il. Pourtant, tu n'avais jamais voulu 'anonymat et à dire vrai, tu n'avais pas conscience du danger que ta nature représentait. Quand bien même, il t’ôtait tout ce qui faisait de toi une Eris.
Un mal te rongeait, plus profond encore que celui de l'homme de ta vie. Plus d'illusions, plus de rêve. Tu étais gangrenée par la colère, obsédée par la douleur. Ton seul lien avec ton passé t'était peu à peu retiré. Tu n'étais rien et tu ne serais jamais. C'était comme si tu pouvais sentir ton âme t'échapper. S'envoler. Toi, autrefois faites de bois, de restes de tissus brûlés. Fille d'un incendie. On t'avait enlevé tout ça, il l'avait remplacé par de la peau et des membres étrangers. Ces choses dont on ne connaissait pas l'origine. Dorénavant, tu ne serais plus l'ombre de toi même avec pour seuls restes d'une ces cendres qui donnaient cette couleur si particulière à tes yeux ainsi qu'à ta chevelure. Parce que ce qui avait su te maudire, t'avait aussi donné naissance.
■ Chapitre IV ■ L'affranchissement
Tu divaguais Eris, tu ne te reconnaissais plus. Tu avais cette terrible impression d'oppression dans ce corps qui n'était plus le tient. Tu te trouvais laide une horreur sans nom et sans origine. Un crime et une infamie. La chose d'un autre, avec tes seules sensations pour te guider. Avec tes mains pour seul chemin.
Tu avais doucement commencé à t'éloigner. A voler de tes propres ailes. Tu t'étais nourrie de ce qu'il t'avait appris pour mieux tenter de t'épanouir. Tu avais usé de force et d'esprit, peut-être les seules choses dignes que l'on pouvait déceler en toi. Tu te battais de tout ton corps et de toute ton âme, pour survivre par amour. Pour passer outre ce que l'on arrachait toi et cette aiguilla sans plantée en toi. Oui toi, toi qui mourrait d'envie de couper ces fils qui te donner forme humaine. Toi qui était perdue dans les méandres d'un esprit déchu, un esprit qui n'était nul autre que le tient. Toutefois, tu l'aimais si fort. Si doucement. Si tendrement. Avec une affection toujours aussi innocente et pure. Toutefois, tu le haïssais de toute ton âme. Si fort. Si difficilement.
Et puis, vint enfin ce jour. Celui où le mot liberté avait résonné en toi, comme s'il signifiait tout à présent. Les choses ne pouvaient pas rester ainsi. Tu ne pouvais plus supporter cette situation et l'emprise qu'il avait sur toi, car au fond tu le savais...Il te possédait. Tout n'était que dévotion chez lui et cependant, il t'avait détruite peu à peu. Il ne restait presque rien de l'enfant candide, toutefois l'espoir demeurait. Celui de pouvoir en encore le sauver. Parce que cet enfant désireux d'apprendre, il fallait le chérir plus encore.
Tu ne souviens plus si un matin ou bien un soir, ton esprit était bien embrumé ce jour-là, comme depuis quelques temps d'ailleurs. Ta décision était prise, irrévocable et accablante. Tu devais partir et tu le savais, mais c'était le cœur brisé que tu l'abandonnais. Lui, l'homme qui t'avait pris sous son aile. L'homme qui avait voulu te sauver sans se rendre compte qu'il allait finir par te tuer à petit feu. Tu avais eu beaucoup de peine à lui dire ces mots, à lui annonçait ton départ et c'était malheureusement vital. Tu pensais que malgré toute son hérésie, il pourrait comprendre, mais ce ne fut pas cas. « Je dois encore te sauver ! », voilà ce qu'il t'avait dit avec une grand sincérité. Tu lui expliquais, il insistait. Tu finis par comprendre que la situation ne suivait pas une logique ordinaire, tu savais qu'il n'y aurait pas d'échappatoire. Tu lui avais tenu tête malgré tout, malgré ta douleur et la sienne.
Cependant, au moment où ta main vint se poser sur la poignée de la porte, quelque chose explosa. Ce n'était pas une explosion réelle, mais bien au sens figuré. Là, devant toi, le Professeur avait finir de mourir. Entrant dans une colère noire, il t'avait jetée au sol. Il t'expliquait, il te hurlait dessus, il n'avait fini son travail...Mais son travail n'aurait jamais de fin. Il était le seul à ne pas vouloir le voir. Dans un excès d'ardeur et d'idiotie, tu parvins à te saisir d'un couteau. Tu savais que ce geste te ferait mal, mais tu savais aussi que tu ne t'en sortirai pas vivante. Ainsi, avec un geste d'une rare violence, tu plantas l'objet dans son cou. A l'instant même où le sang se mit à surgir de la plaie, des larmes perlèrent de tes yeux, inondant ton visage. Elles s’égouttaient sur sa cheveux tandis que tu le serrais de toutes tes forces. Jamais encore tu n'avais connu pareille douleur, pas même lorsque tu étais restée sous ses couteaux. Alors, c'était ça vivre ? Alors, c'était ça les sentiments. Oui, pour la première fois, tu découvris la peine et ce sentiment fut pour toi une agréable découverte...et le plus grand des malheurs. « Pardon... »
Sujet: Re: eris ••• ante mortem Mer 31 Déc - 21:27
Bienvenue
Ahlalala, j'avais presque envie de pleurer avec Eris sur la fin. J'adore ce que tu as fait de ce personnage, j'ai hâte de lire tes prochaines écritures avec ta jolie torturée (juste, je te conseille de relire car des fois (rarement) il manque des mots, ça restait tout de même compréhensible pour moi xD.)
Félicitation ! Pour ta validation, tu reçois 10 Gelds, 1 Haut-Fait et une Souricette afin de t'aider à survivre à Gefängnis. Tu peux maintenant aller t'aventurer au cœur de la prison à tes risques et périls. Pense à créer ta fiche de relations, ton inventaire et ton compte-rendu d'objectifs, qui t'aideront à gérer ton personnage. Sans oublier de passer sur le trombinoscope et à signaler ton poste.