Sujet: jagër ▬ Nobody can save you now | 100% Dim 27 Juil - 21:29
Fiche d'identité
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Infos généralesSurnom ─ Jäger. Tout simplement. Ou Jag, si vous voulez l'énerver. L'énerver solide. Âge ─ Ancien Maître ─ Grausamkeit Fonction ─ Chef des Créatures & Gardien de prison Quartier d'origine ─ Est Adhésion ─ Pro-Dirigeant
Musique de fond
Réputation
Il est craint, particulièrement des Créatures. Certes, il fait moins peur que la plupart des Maîtres, mais il à de quoi frissonner. Seul son ombre fait trembler le plus courageux des hommes. Saviez-vous que voir son ombre passer au dessus de chez soi générerait une sorte de malédiction? Un peu comme voir un chat noir, passer sous une échelle... Sauf que lui, il apporte la malchance, si on peut dire. Et je vous dirais de ne pas prendre ces suppositions comme des balivernes, mes jeunes amis. Tenez-vous en loin. Les Chimères, elles qui normalement comprennent bien le fardeau des Créatures, en on peur. Il aime les manger, de temps à autre. Il est le prédateur, elles sont les proies. Si bien qu'elles ont tendance à longer les murs et se faire toutes petites quand il passe... je les comprend. Les Rafleurs, les Perdus, ils le haïssent. Mais je dois avouer que malgré cette colère farouche se trouve un fond de peur dans leurs voix. Il est trop puissant pour eux, petites fourmis à deux pattes. Les Rêveurs n'espèrent aucune aide de Jäger. Il est du côté des Dirigeants. Et puis les Natifs... Ils en ont une peur bleue. J'imagine qu'ils ont vu des monstruosités de sa part, qui ont du confirmer leur peur. Mais comprenez les... Il est JAGËR! Il tue quand il veut. Il est fort! Puissant! Ses crocs sont des sabres. Ses griffes sont des poignards. Le choc de sa queue est le tonnerre. Ses ailes créent des tornades! Et son souffle de feu... la mort.
QuestionnaireQuelle relation entretiens-tu avec ton créateur ? ─ Quelle relation dite-vous? Grausamkeit. L'être qui, selon moi, mérite le plus de respect ici. En fait, je suis plutôt sûr de cela. Je dois la vie à Grausamkeit. Je lui voue un culte et je le sers fièrement, et avec énormément de fidélité. De toute façon, même si je ne le faisais pas, je ne donnerais pas cher pour ma peau. Tout ceux qui oserons parler contre lui, d'une quelconque façon, en payerons fortement le prix, par lui, ou plus précisément par moi. Surtout mes chers petites créatures. Mais je ne pense pas qu'elles feraient ça. On ne se dresse pas devant lui. C'est clair. Grausamkeit, c'est mon père, mon créateur, mon dieu, mon roi à moi. Celui qui à le pouvoir de la vie, et de la mort aussi. Peu importe ce qu'il me demande, je le ferai. Même si ce qu'il me demande est complètement immoral, je le ferai avec autant d'ardeur qu'il le faut. De toute façon, ne suis-je pas moi-même un être complètement immoral? Je me fiche qu'il m'utilise comme son pantin, sa marionnette, son esclave personnel! Qu'il le fasse! Je serai là. Et je serai son pantin, fort, puissant, je serai sa force, je serai ses muscles, je serai ses crocs, je serai son dragon. Son animal de poche! Ne l'ai-je pas toujours servi, et ce avec toute l'ardeur du monde? Et je pense qu'il le sait. Et je pense qu'il est fier du monstre qu'il a créé. Pourquoi ne serait-il pas fier de cette immense machine à tuer? Je pense qu'au fond, j'ai été créé pour servir non seulement les maîtres, mais particulièrement ce chat. J'ai été créé pour terminer le travail qu'il a commencé : montrer à quelle point la vie sur Gefangnis est un cauchemar.
En quoi consiste ta fonction ? ─ Je suis là pour punir autant les prisonniers que ceux qui les gardent. Je ne tolère pas l'erreur, ni l'arrogance et je suis là pour m'assurer que ces petits fassent bien attention aux règles. Et que tout soit fait à la perfection. Voyez, les maîtres créent les créatures, et moi, je les surveille. Je les punis, je joue avec leurs douleurs, avec leurs peurs; à eux aussi. La moindre erreur, la moindre bêtise, la moindre inattention de la part de mes sbires et croyez moi, ils brailleront pour revoir leurs mamans. Oh oui, je suis là pour avoir de l'autorité sur l'autorité. Les prisonniers quant à eux, je les surveille. Ils sont plus facile à effrayer, bien entendu. Mais certains ce montrent particulièrement courageux, un courage que je m'occupe personnellement d'éradiquer,et avec un plaisir plutôt malsain. Ici, il n'y a de place que pour la discipline et la peur. Et qui leur apprendra ça, si je ne suis pas là? Sachez, pauvres maudits, que je n'ai pas peur de donner quelques coups de crocs.
Un coup de queue, au sol, bien ressenti; j'ai de quoi faire trembler la terre. Une jolie flamme crachée, je viens de te faire calciner mon pauvre. Un bon coup de crocs, tu as de quoi souffrir plusieurs semaines, si je ne t'ai pas volontairement scindé en deux. Vous voyez? Il ne faut pas trop jouer avec mes limites, vauriens.
Que penses-tu des Perdus ? ─ Ces gens amenés ici par Grausamkeit? Des saletés. Ceux que les créatures ont ordre de surveiller d'avantage. Généralement, lorsqu'ils arrivent ils posent pleins de questions ennuyantes et ça m'énerve. En fait, je me fiche un peu de quelle catégorie ils sont. Ce sont des êtres infâmes qu'ils faut dompter, peu importe si ils sont des perdus, des natifs, des chimères ou ce que vous voulez. Ce sont des prisonniers qui méritent correction, peu importe ce qu'ils ont commis. Mais je dois avouer que j'éprouve un malin plaisir à leur faire peur dès leurs arrivées. C'est vrai, je fais peur. Et comme ça me fait plaisir de le montrer. Ils sont tellement... perdus. Oui, ils portent bien leur nom, ces petites choses. Et... c'est fou comme ils ont peur de mes crocs...!
Que penses-tu de la monarchie des Maîtres, du bellicisme des Rafleurs, de la persécution des Chimères et des aspirations des Rêveurs ? ─ Les Maîtres... Pourquoi poser la question? Ce sont mes dieux. Sans eux, que serait Gefangnis? Ils ont du pouvoir, ils ont l'ambition, et ils ont toutes les cartes dans leur jeu. Nous sommes les soldats, nous mourrons pour eux. Nous combattons, nous mettons de l'ordre dans leur royaume. Sans nous, ils ferraient d'autres créatures. Rien de plus banal. Et nous, sans eux, nous serions morts. Point. Ils sont la force et le modèle à suivre. Ils sont les Maîtres. Pourquoi discuter quand ont peut leur faire plaisir? Les Rafleurs? Oooh, ces petites fourmis... Si plaisante à tuer! C'est grisant de voir la terreur dans leurs yeux quand ils ont la mort tout près d'eux... trop près. C'est presque si je pouvais les voir regretter leurs gestes. Ils veulent renverser les Maîtres? Ils veulent créer une révolution. Qu'ils essaient, ces bestioles. Je dresserai mur de flammes, je donnerai coup de crocs et je les enverrai valser dans le ballet de la mort d'un coup de queue. Pour ce qui est des petites bêtes maltraitées que tout le monde s'amuse à appeler Chimères, je n'ai rien contre eux. Ils ont bon goût. Quand j'en trouve une trop amoché par les Rafleurs ou quelque chose du genre je me fais un plaisir de nettoyer le paysage de leur laideur. C'est vrai qu'ils sont parfois vraiment affreuses... Peu importe. Leur chair est délicieuse, savoureuse... exotique! Même que, pour être honnête j’attends rarement que les Rafleurs en amoche une pour me payer une petite collation! Et pour finir, les Rêveurs... des idiots qui voient le monde en rose, qui pensent qu'un jour ils trouveront. Bonne chance, mes bichons. Bonne chance... Si un jour vous ouvrez une porte, une sortie que vous auriez pas du voir... croyez-moi, le gros dragon Jäger va se faire un plaisir de vous ramener. Morts ou vivants, qu'importe? Je serai là. Et pour le moment, je préfère les tenir à l’œil. Mais l'espoir n'a jamais fait poussé d'ailes, et n'a jamais fait accomplir quoique ce soit, ici.
Profil psychologique « Moi? Peur? Vraiment? Comme je suis touché que vous m'imaginiez comme le petit dragon mauve de votre contrée! Non. Pas du tout. Je n'ai pas peur. Rien ne m'arrête, rien ne me tue. En fait, si, une chose. Les Maîtres. Les Maîtres peuvent me tuer avec toute la facilité du monde. Mais je n'ai pas peur d'eux. Je les respecte, c'est tout. Cynique, méchant, vulgaire de temps à autre. Voilà ce que je suis. Je fais peur, je m'amuse à vous faire peur. Je m'amuse d'un plaisir extrêmement malsain. J'ai cette perversité d'aimer le mal, d'aimer la douleur, d'aimer vos cris. Hurlez temps que vous le voulez, mortels. Hurlez, hurlez à pleins poumons! Ayez mal! Mais personne ne peut vous entendre ici, et personne ne viendra vous chercher, pas même la Faucheuse. »
Jäger est un être sans cesse sérieux, même si il se dit friand de votre peur. C'est vrai, ça l'amuse. Mais la plupart des rires rauques que vous entendrez de lui seront des rires de sarcasmes. Il se met facilement en colère. Très facilement. Si l'un de ses sbires n'arrive pas à faire quelque chose, il s'en occupera personnellement, et avec beaucoup, beaucoup de rage. Et vous savez comment il défoulera cette rage? Il punira. Punira l'incompétent. Il est le chef, c'est son devoir de corriger. Comme le professeur. Mais Jäger à toujours été du plus du genre ''coup de règle sur les doigts'' que ''appel aux parents''. Enfin, plus ''coup de crocs'' que ''coup de règle''... Il punit bien. Après ça, tout le monde s’affaire à son travaille et reste tranquille un bon moment. Il obtient toujours les résultats qu'il veut. Toujours. Et si ça n'arrive pas... que dis-je. Il continuera jusqu'à ce que ça marche. Il est assez orgueilleux sur ce point. Le reste, vous le découvrirez par vous-même. Ce n'est pas comme si ce gros lézard passait inaperçu.
Il désir seulement bien faire son travail et faire en sorte que les Maîtres soient respectés. Il est effroyablement tiqué lorsqu'on insulte ses dieux, et à ce moment, je vous conseil de courir. Il n'a pas peur de grand chose, et si avait une peur en particulier, il préférerait y faire face de que fuir la queue entre les pattes. Son plus grand défaut? Je dirais son instabilité. Il est trop facile à mettre en colère, et trop dur à calmer.
Il adore la viande de Chimère, pour ne pas dire qu'il en raffole. Il aime aussi voir à quel point il fait peur. Il aime voir la réaction des gens lorsqu'il le voit. Sinon, il n'ose pas se l'avouer, mais il adore son travail. Et adore le pouvoir qu'il a sur les autres créatures.
Oh. Et son petit nid dans les montagnes... il se sent bien dans son macabre chez soi.
Biographie
ExtraitHave you not heard of my fearsome glory?
Je glisse lentement entre les rochers griffés, les cages éventrées, brisées, vidées, suspendu dans le vide comme des rivières de diamants aux cous des femmes. Des trésors, des beautés, riches, dispendieuses. Toutes à moi. Les preuves de ce que je suis, des preuves de mon pouvoir. Mes ailes battent l'air tranquillement pour me maintenir en équilibre pendant de j'enjambe les tas d'ossements, les montagnes de ma montages, mes promontoires, mes collines. Les os dégringolent; les crânes, les pattes, les griffes, les crocs. Tout y est, de chacune des créature qui à vu la fin ici. Peut-être quelques bouts de métal et tout autre matériaux provenant des Chimères, aussi. Mes griffes crissent sur les ossements alors que je bondis, m'accrochant aux chaînes des cages et retombant sur les rochers. Le cliquetis du métal résonne, les cages s'entrechoquent dans des fracas agréables à mes oreilles. Une douce symphonie. J’entends la petite bête approcher, elle est dans l'entrée et elle attend son jugement. Je lève le menton, et regarde avec satisfaction l'ouverture de mon royaume. Je descend, comme un roi de son trône, de ma petite bute de squelettes brisés, les yeux brûlants d'une fureur habituelle. Je pose les pattes sur le sol de terre dure, compacte, passe à quelques mètres d'un corps brûlé, à moitié mangé, à moité déchiqueté, à moitié tout ce qui est macabre. Je grogne, je souris, et je prend une grande respiration. La braise s'allume dans mes yeux fous, ma poitrine se rougit, les braises, la chaleur monte à mon coup jusqu'à bouche, et là, les flammes jaillissent dans un grondement assourdissant. Brûlant les murs, les flammes allant jusqu'à lécher le dessous des cages pendues, je regarde mon royaume incendié, le fruit de mes efforts, la beauté même. Les flammes s'estompent doucement, laissant là que des braises encore rouges écarlate, tandis que de la fumée noire sort de mes nasaux, et d'un peu tout ce qui à été touché. Sur le sol, il y a les cendres, il y a la suie, et un frêle corps presque entièrement consumé par les flammes, noirci par le feu, la chaire à vif et les yeux globuleux, vitreux. Le royaume de la mort, de la douleur, c'est ici. Et c'est chez moi.
« I am the rightful King under the Mountain, and shall be forever! The jewels and iron scales that cover me give me armour like tenfold shields! My teeth are swords! My claws are spears! The shock of my tail is a thunderbolt through the sky! The clap of my wings is a hurricane! My breath of fire, my signature, is death. I shall fly above Lake Town again. They shall see me and remember who is the real King under the Mountain. »
Invité
Invité
Sujet: Re: jagër ▬ Nobody can save you now | 100% Sam 30 Aoû - 2:55
Aaah! Enfin terminé! ♥ J'espère que ça sera ce que vous attendiez pour cette grosse bête ♥ Et désolé du délais D:
Bakhome
Gigolo du Prince Schön
Feuille de personnage ÂGE: 23 ans OCCUPATION : Garde du corps du Prince ADHÉSION : Pro-dirigeant
Sujet: Re: jagër ▬ Nobody can save you now | 100% Dim 7 Sep - 11:18
Bienvenue
Absolument désolée pour le "retard", au final je n'ai pas pu parler avec Séléna alorrrs, c'est à moi de prendre les décisions. Et tu es validé ! J'ai beaucoup aimé ton histoire, tu as su faire un truc intéressant ce qui est pas évident pour une créature. xD Et euuh, tout est en ordree ! Félicitation ! Pour ta validation, tu reçois 10 Gelds, 1 Haut-Fait et une Souricette afin de t'aider à survivre à Gefängnis. Tu peux maintenant aller t'aventurer au cœur de la prison à tes risques et périls. Pense à créer ta fiche de relations, ton inventaire et ton compte-rendu d'objectifs, qui t'aideront à gérer ton personnage.
Et surtout, amuse-toi bien !
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jagër ▬ Nobody can save you now | 100%
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