Sujet: Glaz — Empty eyes of the doll Sam 8 Nov - 1:06
Infos Générales
Nom ─ Glaz Âge ─ 26 ans Anniversaire ─ 21 octobre Quartier d'origine ─ La ville de Close Métier ─ Brocanteur Adhésion ─ Neutre
Musique de fond
Réputation
Glaz est une chimère. Mais Glaz ne se cache pas. Du moins, pas entièrement. On le regarde de loin ; parfois, on le hait, d'autres, on le laisse croupir dans l'ombre. Glaz, on ne sait pas trop qui c'est, et si on se pose la question, on n'a pas trop envie de se donner de la peine de se pencher sur le sujet. Encore un de ces types tordus, ces mecs flippants qui te suivent du regard sans lâcher un mot quand tu passes devant eux dans la rue. Alors, Glaz, on l'oublie. Parce qu'après tout ça n'est qu'une autre âme sans importance, et que bien d'autres choses méritent de s'attirer les faveurs de notre intérêt.
De quelle caractéristique physique as-tu écopé en tant que chimère ?
Tout le bas de mon corps - de la taille au bout des orteils - est constitué d'une sorte de céramique, du grès, plus précisément. Comme c'est un matériau résistant, cela s'avère bien pratique ; l'inconvénient reste le poids, qui est plutôt conséquent. C'est un fait, me déplacer sur de trop longues distances me paraît bien plus fatiguant qu'à une personne entièrement constituée de chair et d'os. En plus de cela, les articulations grincent, émettent des cliquetis peu naturels, et il faut prendre garde à ne pas se cogner, car la résonance de la pierre est assez différente de celle de la peau - et je ne parle pas de la couleur. Mais, malgré ces détails, ces attraits physiques sont facilement dissimulables, je dois être chanceux, d'une certaine manière.
As-tu déjà eu affaire aux Rafleurs ?
Un tel incident a failli arriver plusieurs fois, sans jamais encore s'être concrétisé, je suppose que c'est un miracle. Mais il n'y a pas qu'eux pour haïr les gens comme nous, de toute évidence.
Vis-tu plutôt caché ou ouvertement ?
J'ai plutôt tendance à rester discret. Je n'aime pas me mêler à la population. Non seulement c'est risqué, mais en plus, les autres tendent à m'éviter. C'est peut-être une forme de télépathie entre le reste du monde et moi.
Réussis-tu à exercer un métier ?
En effet, depuis un moment. Mon anomalie n'est pas flagrante, il me suffit de la cacher et prétexter une maladie qui m'empêche de trop bouger pour passer pour quelqu'un de normalement constitué ; alors, je ne voyais pas en quoi me lancer dans un métier ne pouvait m'être possible.
Que penses-tu de la monarchie des Maîtres, du bellicisme des Rafleurs, de la persécution des Chimères et des aspirations des Rêveurs ?
Cette question est stupide. Ce que je pense de la monarchie des Maîtres ? Eh bien, je baigne dans cet univers depuis que je suis venu au monde. Elle ne me dérange pas plus que ça, malgré tout les maux qu'elle peut apporter. En tant que Chimère, je doute que le fait qu'elle soit là ou qu'on soit sous la domination - si l'on puis dire - de quelqu'un d'autre change quoi que ce soit à ma condition. Quant aux Rafleurs, je suppose que c'est instinctif : ils m'inspirent une profonde terreur. Il y a comme un courant électrique entre ces gens-là et ma personne, une douloureuse barrière entre nous. Préjugés ? Instinct de survie ? Peut-être un savant mélange des deux. Pour en venir aux Rêveurs, je les trouve inutiles. Leurs intentions sont peut-être louables. Mais, s'acharner ainsi à trouver une sortie au lieu de s'adapter et de tenter de tirer quelque chose du nouveau monde qui leur est offert... La découverte est une chose merveilleuse, alors pourquoi ne pas en profiter ? Enfin, s'ils trouvent une sortie, tant mieux pour eux. Je doute qu'ils y parviennent un jour.
Profil Psychologique
« C'est noir, c'est sombre... »
Glaz est un éternel pessimiste. Le monde est pourri jusque dans ses plus éblouissants tréfonds, tout va mal, et c'est de pire en pire. C'est un fait tellement désespérant qu'on finit pas ne même plus avoir envie de se battre. Alors on accepte. Voilà, simplement. Il ne lutte plus pour espérer être heureux, ou bien même juste caresser l'idée du bonheur, parce qu'il sait que c'est impossible. Peut-être qu'il l'a chassée, cette utopie. Peut-être qu'elle s'est enfuie. Dans tous les cas, elle n'est plus là ; envolée, évanouie, disparue. Il s'est tellement résigné qu'il n'a même plus envie d'en souffrir. Ce n'est pas du désespoir, même plus une quelconque forme de tristesse, c'est de la fatalité. Tant que son corps vivra, il fera avec ce monde qu'il n'aime pas. Peu à peu, il s'est vidé. Son esprit a fini par s'oublier, renvoyer moins d'émotions. Il est empli d'une étrange et infinie lassitude. Il n'est pas heureux, pas triste, pas en colère, il s'ennuie. Parfois, une pointe de douleur. Parfois, une lueur de joie, un petit quelque chose de doux et d'agréable. Puis ça s'en va, ça l'abandonne, ça meurt ; comme tout ce qui existe. La vie est ainsi faite, une infinité de rien, une illusion de tout. Il ne sait pas s'il déteste ça ou s'il en apprécie la cruelle ironie.
« ...et ridicule... »
Il se moque, sans pourtant prétendre être malin, supérieur, sans vanité particulière. Il se moque et ses remarques ont un goût acerbe. Il faut bien que son dégoût passe quelque part. Un humour grinçant, noir, un peu blessant. On ne supporte pas ses sarcasmes, ce petit air suffisant qu'il arbore sans s'en rendre quand il vous lance une pique. Exécrable, il semble tout à fait exécrable, ce Glaz. On voudrait déverser un peu de notre haine sur lui, parfois ; après tout ce n'est qu'une Chimère, une erreur, et certains le savent. Mais il inspire une forme de pitié, l'énergumène. Il trouve si peu de qualités à ce monde, il semble toujours si rempli de vacuité, que finalement, on se rend compte que le laisser croupir dans sa misère, c'est peut-être plus violent et satisfaisant que de le rouer de coups. Mais ce n'est pas de sa faute, tout lui semble tellement pathétique et vain, comment n'eut-il pu pas se payer la tête des acteurs de cette comédie grotesque, à laquelle on donna le nom de "Vie" ?
« ...ce spectacle sans âme... »
Glaz. Dans une certaine langue humaine, il paraîtrait que ce mot signifie œil. Il se trouve que la Chimère porte fort bien son nom. Glaz observe, l’œil regarde. Il n'est pas du genre à parler durant des heures et des heures. C'est comme s'il guettait en permanence quelque chose d'intéressant, quelque chose de nouveau. Ses yeux scrutent, fouillent, recherchent. Toujours. Cela ne le gêne pas ; les autres, un peu plus. Vous entrez dans son champ de vision, et il vous vise, vous analyse, n'en perd pas une miette. Sa mémoire n'est pas bonne, alors il doit vous regarder avec plus d'intensité encore pour retenir le fait que vous avez existé, qu'un jour, vos destins se sont furtivement croisés. Personne n'échappe à ce traitement, il n'a pas peur de voir, pas peur de connaître. Au contraire il adore ça. Pour une fois qu'il adore quelque chose, hors de question de s'en priver. C'est devenu une manie, une obsession, un TOC dérangeant. Ça met mal à l'aise, ce regard violet, à la fois si profond et si vide, qui vous dépouille sans aucune pudeur. Glaz ne vous touche pas, mais c'est comme s'il vous mettait à nu. Les gens ont horreur de ça, les gens rient nerveusement, les gens disent un au revoir poli ou pas d'au revoir du tout, les gens ne reviennent pas. Il ne fait pas peur, sa présence est oppressante. Son étrangeté, son silence, l'instance de son regard, laissent cette sensation de mal-être dans la poitrine, cette sensation qu'on n'aime pas et qu'on voudrait oublier.
« ...peut-être, subsistent quelques espoirs... »
En effet, si à présent il reste une chose qui, pour lui, se rapproche du plaisir, c'est le savoir. La découverte. Il aime cette sensation d'avoir le monde entre les mains, les secrets de ce qui l'entoure au fond de la cervelle. On peut voir ça comme un goût prononcé pour la connaissance, ou bien comme une façon de remplir ce vide qu'ont laissé ses sentiments en claquant la porte. Ce vide qui, quelque part, l'angoisse. Ce calme plat, ce lac glacé, cette froide apathie qu'il n'arrive pas à comprendre. peut-être qu'un jour, au détour d'une page d'un vieux livre, il trouvera ce qui ne va pas chez lui à ce niveau-là.
Glaz sait des choses. Beaucoup de choses. Sa mémoire lamentable lui donne du fil à retordre, mais lui se donne du mal. Et ça a tendance à payer. Il n'est pas forcément déterminé, seul ce qui lui tient le plus à cœur méritera qu'il persévère. À quoi bon souffrir pour ce qui n'a, à ses yeux, aucune valeur ?
« ...au milieu de ces infinis cliquetis métalliques. »
La raison. Quand on n'a plus grand chose au fond du cœur, on se sert surtout de sa tête. C'est ce qu'il fait, Glaz. Sa façon d'agir tient peut-être plus de la machine que ses jambes elles-mêmes. Distant, il n'a guère tendance à se soucier réellement d'autrui, du moins, pas lorsque que cela ne présente aucun intérêt. Quelque part, cela lui accorde une certaine liberté : il fait ce qu'il veut. Seulement, peut-il vraiment prétendre être libre, enfermé dans sa prison, cette coque où errent quelques restes d'âme, de rêves et de désirs en lambeau, et dont il est incapable de se délivrer ?
Histoire
C'est une histoire ni palpitante, ni très intéressante.
Ça a commencé dans un quartier malfamé, dans une maison des plus modestes, sans richesse d'esprit ni joie particulière. Surtout quand on vit qu'il y avait un problème : les jambes. Alors, on a trouvé ça répugnant, et on a laissé le sort de l'enfant au bon vouloir d'une hypothétique divinité ; que ce soit le hasard ou bien quoi que ce soit d'autre. On n'a pas donné de nom à la chose, on s'est contenté de s'en débarrasser et de l'oublier.
Et alors, une âme charitable est passée par là. C'était froid, au bord de la mort, inhumain. Mais c'était si petit que ça n'avait pas l'air de souffrir. Alors, ces mains glacées ont saisi ce corps, et l'ont emporté. C'était un bel acte, de quoi chanter les louanges de cet être anonyme pour un bon moment. Il soigna la chose, l'entretint, sans même se soucier des jambes. Un semblant de corps, une hypocrisie d'apparence, un substitut de normalité. Et ça aussi, c'était beau. Parce qu'il l'avait fait de son plein gré, parce que seule sa conscience l'avait forcé. Et même ; il ne s'est pas arrêté là : il lui a même donné un nom. Glaz, c'était bien cela. Il aimait le monde extérieur de la prison, il l'aimait énormément et plus encore depuis qu'il l'avait quitté. Il trouvait que ça allait bien au juvénile estropié, depuis qu'il avait remarqué la façon qu'il avait de regarder le monde. Et il souriait, en regardant ce que tous qualifiaient de monstre ; il souriait parce que c'était son trésor, à lui.
La chose, qui maintenant avait un nom, grandit. Elle grandit sous les moqueries des enfants, la haine des adultes, et le réconfort de son sauveur. Elle grandit en affichant des sourires incroyablement tristes et des larmes de bonheur. Elle ne fut pas si maltraitée que ça, en somme, pour une Chimère. Elle eut juste le droit à cette inévitable et infinie solitude. Elle ne savait pas trop qui elle était, ni où elle devait se placer. Elle ne comprenait pas vraiment le juste milieu : l'écart, entre l'amour inconditionnel qui d'un côté lui était voué, et le rejet et les humiliations qu'on lui faisait subir de l'autre, était trop grand. Elle avait mal, puis elle était infiniment heureuse, confiante. La chose se perdait au milieu de tout cela, elle nageait dans tout ce brouhaha de sentiments flous et s'y noyait.
Une miche de pain encore chaude serrée contre son torse, Glaz marchait dans le dédale de rues sombres. C'était un enfant, il crapahutait, avec ses jambes qu'il maîtrisait encore mal, qu'il s'efforçait difficilement de soulever, qui grinçaient et laisser échapper quelques plaintes mécaniques. Il les haïssait, ces jambes, qui le faisaient détester de tous. Pourtant, son père, lui, semblait les adorer. Ses yeux brillaient quand il les nettoyait, quand il les réparait, quand il les effleurait du bout des doigts juste pour le plaisir de sentir la pierre, douce et diaphane, au bout de ses doigts.
Enfin, il arriva chez eux. Chez lui. Ce qu'il avait d'humain souffrait terriblement de l'effort. Essoufflé, en nage, il s'arrêta un instant pour reprendre son souffle. Respire, Glaz, Respire. S'encouragea-t-il en posant sa petite main sur la porte. La vie commençait à être compliquée, et lui à se rendre compte des misères du monde. Y compris la sienne. Respire, Glaz, respire. Il ne faut penser à rien.
Le temps passa, son existence était toujours la même. Il y avait ce grand amour et ce grand vide, ces deux mondes totalement différents. Plus les années passaient, moins il savait ce qu'il préférait. Plus l'âme charitable l'aimait plus il se demandait si lui, il aimait vraiment l'affection qu'elle lui portait. Glaz le laissait l'aimer, comme il disait, de moins en moins certain qu'il en avait le droit. Après tout, c'était comme ça depuis longtemps. C'était peut-être normal ? Une partie de lui, étouffée sous une tonne de fausses excuses, lui susurrait que non.
Glaz préféra oublier, lui aussi. Oublier ce qui hurlait en lui, faire taire ces sentiments bouillonnants. Il les laissa, tranquillement, au fur et à mesure, se retirer de son esprit, s'effacer. Cela prit du temps. Beaucoup de temps. Et il en eut assez pour réfléchir ; et plus ce qui lui brouillait la vue disparaissait de lui, plus il comprenait le monde qu'il l'entourait. Plus il comprenait qu'être aimé n'était pas forcément une bonne chose, et que, dorénavant âgé de presque quinze printemps, il subissait cet amour depuis trop longtemps. Il comprit qu'au final, il n'avait jamais cessé d'être seul.
« Toute ma vie, j'ai été stupide. Tellement stupide... »
Il s'enfuit. Dans la nuit, dans le froid, dans l'hiver, n'importe où ; l'air de la maison lui donnait maintenant envie de vomie, il était vicié, pourri. Les Hommes lui donnaient envie de vomir. Ce monde était pitoyable, grotesque, cruel ! Sous prétexte d'être né ainsi, il n'avait fait qu'enchaîner les abandons, les rejets, les humiliations. Depuis sa naissance. Et il ne s'en rendait vraiment compte que maintenant ! Il s'en voulait. Il s'en voulait tellement. Cette culpabilité, reste d'émotion, l'envahissait, le hantait. C'était atroce, insupportable. Et il s'employa à le supprimer, lui aussi.
Des années passèrent avant qu'il ne parvienne à ce but. Du haut de sa vingtaine d'années, il était devenu cette personne qu'on ne supportait pas, cet être qu'on désirait oublier, ne pas voir. Et Glaz s'était résigné à cette condition. Il allait se cacher ; de toute façon, plus rien ne l'animait. Et il ne voyait pas pourquoi il se donnerait la peine de se confronter à un monde qui ne voulait pas des gens comme lui. Glaz parvint à se dégoter un petit endroit au pied d'un immeuble. Il le remplissait des vieux objets que lui apportaient les gens. Après tout, il fallait bien gagner sa vie, et il avait, étonnamment, de l'intérêt pour les choses anciennes. Elles lui donnaient à réfléchir, elles l'instruisaient, lui permettaient de découvrir. Et, si c'était sa dernière source de satisfaction, alors il l'exploiterait.
Reclus dans son petit monde, il se terre, au calme de sa pénombre, avec l'odeur des vieux livres plein d'esprit. Dans un silence de mort il se recueille auprès de lui-même, dans l'attente d'il-ne-sait-quoi ; avec, le lorgnant depuis les étagères, les yeux vides des poupées de porcelaine.
Abschaum
Créature
Feuille de personnage ÂGE: D'apparence, une vingtaine d'années. OCCUPATION : Gardienne des Eaux ADHÉSION : Allégeance au Roi
Sujet: Re: Glaz — Empty eyes of the doll Sam 8 Nov - 10:56
Bienvenue à toi, jeune chimère! Joli début de fiche, Glaz! Je crois pas qu'une chimère soit faite grès pour le moment, c'est super. Ca change :3 Bref, je te souhaite bon courage pour ta fiche 8D
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Sujet: Re: Glaz — Empty eyes of the doll Dim 9 Nov - 12:29
Sujet: Re: Glaz — Empty eyes of the doll Dim 9 Nov - 20:55
Bienvenue à toi, bon courage pour ta fiche !
Invité
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Sujet: Re: Glaz — Empty eyes of the doll Lun 10 Nov - 23:16
Mici aussi ô grande défense des Chimères e.e ! /maggle/
PS : Hop, je précise que tout est fini ! J'espère que l'histoire est pas trop fouillis, parce que je suis pas sûre que ce soit totalement compréhensible.... Maibon ! ^^"
Abschaum
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Sujet: Re: Glaz — Empty eyes of the doll Mar 11 Nov - 8:23
Bien jolie fiche :3 J'aime beaucoup ta façon d'écrire! Je comprends Glaz, moi aussi, si j'avais eu cette vie...je parlerais à personne /meurt (Même si du coup, il a l'air un peu difficile à atteindre). Bref, il y a juste un point qui m'empêche de te valider. Les chimères naissent avec leur partie du corps changée, ce n'est pas un rajout ou une fabrication (sinon pauvre Koleos). C'est aussi ce qui fait leur nature du coup :) Il faudrait que tu modifies cette partie et ce sera bon pour moi!
Invité
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Sujet: Re: Glaz — Empty eyes of the doll Mar 11 Nov - 11:59
Mouais, ça bloque dans le relationnel ce genre d'expériences xD (merci du compliment aussi c'est gentil!)
Hbdvjkbvbdv et j'avais mal compris, honte sur moi owo En tous cas c'est arrangé ! :3
Abschaum
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Sujet: Re: Glaz — Empty eyes of the doll Mer 12 Nov - 8:45
Bienvenue
Pardonne-moi, je n'ai pu faire qu'un passage rapide hier. Bref! C'est niqueeel! Plus rien ne s'oppose à ce que je te valide. En espérant que tu plaises parmi nous! Bon jeu ♥
Félicitation ! Pour ta validation, tu reçois 10 Gelds, 1 Haut-Fait et une Souricette afin de t'aider à survivre à Gefängnis. Tu peux maintenant aller t'aventurer au cœur de la prison à tes risques et périls. Pense à créer ta fiche de relations, ton inventaire et ton compte-rendu d'objectifs, qui t'aideront à gérer ton personnage.