Sujet: Grimoald • Riant pour ne pas trop pleurer de la faiblesse des anges, de la force des chiens Mer 30 Juil - 14:26
Fiche d'identité
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Infos généralesSurnom ─ Grimoald Groupe ─ Rêveur Âge ─ 25 bougies Anniversaire ─ 11 juin Origine ─ Gentil petit Natif Rang ─ Explorateur
Musique de fond
Réputation
Ma réputation. Oh, on ne me voit pas souvent, alors je n'en ai pas vraiment. Ou plutôt, si, les gens me voient, mais ils ne font pas vraiment attention à moi. Ils ne s'intéressent pas à un explorateur de passage. Mais ceux qui prennent le temps de me connaître ont l'air de garder une impression positive de moi, le monsieur qui s'intéresse à tout, un peu excentrique, un peu dur à saisir. Sauf ces chiens de Rafleurs, bien sûr. La plupart n'ont que du mépris pour moi, en temps que Rêveur, et c'est réciproque.
QuestionnaireDepuis combien de temps as-tu rejoint les Rêveurs ? ─ Celà fait 4 ans que j'ai rejoins ce groupe de personnes positivement formidables. Avant ça, je connaissait à peine leur existence, encore moins leurs buts. Mais dès que j'ai su, je n'ai pas hésité à accepeter le poste d'explorateur qui m'était proposé.
Quelle raison t'a poussé à le faire ? ─ C'est venu tout naturellement. Les Rêveurs ont une pensée et des idéaux qui correspondent parfaitement aux miens. C'est aussi le seul groupe qui me permet de faire pleinement ce que je veux, et qui m'encourage et me supporte dans cette direction. Désirant plus que tout comprendre et découvrir ce monde, mais surtout, en sortir, il était tout naturel pour moi de m'associer à eux. Leur but est noble à mes yeux, tout comme leurs méthodes pour y parvenir. Même si je ne l'avoue pas souvent, ils sont comme une famille, pour moi. Une famille qui m'accepte comme je suis, mieux, qui met à profit mes talents, qui conçoit un intérêt en moi, et avec qui je partage réellement quelque chose. Je suis donc pleinement heureux d'aider un Rêveur quand j'en croise un, et de partager mes connaissances et les informations que je peux récolter avec eux. ils font progresser les choses, et je voulais tout simplement les faire progresser avec eux.
En quoi consiste ton rang ? ─ Je suis explorateur. Le plus beau rang du monde, si vous voulez mon avis. On m'a chargé, ou plutôt on a accepté ma volonté de me charger de découvrir les terres inconnues de Gefängnis pour leur compte. Je me suis fixé comme objectif de ne pas laisser un pic, une faille, une caverne inexplorés. J'irais jusque dans l'antre de Jäger, collecter des informations sur ce monde. Je suis chargé d'explorer chaque recoin, pour pouvoir rassembler autant d'indices que possible sur la sortie de cette Prison. Que ce soit des traces du passage d'Amsel, des vestiges de populations disparues, ou des chemins dérobés à la vue de tous, conduisant vers des lieux encore inconnus, il est de mon devoir de tout découvrir. Car au fond de moi, je suis intimement convaincu que la clef de ce monde se cache dans ces terres mêmes, celles que nous n'avons pas prit le soin de découvrir. Que tant de lieux de Gëfangnis soient encore inconnus à ses habitants même est pour moi un mal qu'il faut réparer.
Te rends-tu souvent sur le terrain ? ─ Tout le temps, c'est mon métier ! On n'est pas explorateur en regardant le ciel par la fenêtre ! Cela dit, il m'arrive aussi parfois d'aller à la bibliothèque, me plonger dans les livres, pour récolter plus d'informations et de connaissances sur tel ou tel lieux, sur les légendes du pays et les indices qu'elles peuvent m'apporter quant à où chercher.Mais sinon, l'essentiel de ce que je fais est du travail de terrain. Bien qu'il nécessite quelques préparations, car je n'aime pas partir à la découverte sans un minimum de connaissances. Je ne reste jamais longtemps au même endroit, je bouge toujours vers l'avant, j'essaie tant bien que mal de me rapprocher de mon but ultime, sortir. Alors j'explore chaque recoin de chaque lieu, je parle aux autochtones, aux Perdus, à tous ceux qui pourraient me donner des informations, des astuces, des chemins par où passer. Le terrain, c'est ma dimension.
Que penses-tu de la monarchie des Maîtres, du bellicisme des Rafleurs, de la persécution des Chimères et des aspirations des Rêveurs ? ─ Les Rafleurs ? Tous des chiens, voilà ce que j'en pense. Des êtres incapables de voir autour d'eux, des égoïstes centrés sur leur petite personne et leur soi-disant "noble cause". Ils ne voient pas tout ce qu'ils détruisent, la beauté du monde qui les entoure. Selon moi, ce sont des idiots qui, dans leur frénésie d'éradiquer les Chimères et de conquérir le monde, ne voient pas qu'ils détruisent toutes leurs chances d'en sortir un jour. Je les méprise. Un troupeau de buffles, voilà tout ce qu'ils sont. La persécution des Chimères est une forme de violence qui me répugne, et que je trouve à la fois injuste et inutile. Ce sont des êtres qui pourraient nous apprendre beaucoup, tout autant sur le plan anatomique (mais ce n'est pas mon domaine d'expertise) que sur le monde dans lequel nous vivons. Leur persécution les a parfois poussées à se rendre dans des endroits des plus reculés de ce monde, et en font ainsi une bonne source d'information pour moi. Quant aux aspirations des Rêveurs.. je vous ai exposé mon point de vue sur la question. Elles me paraissent des plus justes et des plus utiles. Y adhérant totalement, et faisant moi-même parti des Rêveurs, il n'y a rien que je puisse dire à leur sujet. Si ce n'est que j'espère qu'elles ne nous conduiront jamais à des extrémités telles que la violence gratuite des Rafleurs.
Profil psychologique Je pourrais être quelqu'un de très intéressant. Je veux dire, j'ai assez de connaissances pour tenir une discussion, j'aime écouter les gens, leurs histoires. Mais non. Je suis asocial. Bien mieux en retrait, au calme, à observer et à réfléchir. J'aime le silence, et la solitude m'est nécessaire. C'est pourquoi le métier d'explorateur me convient si bien, en partie. Cependant, je ne fuis pas les gens non plus. Je sers volontiers de guide à ceux qui veulent partir à l'aventure, ou arriver quelque part en toute sécurité. J'aime faire des rencontres. Et si je ne parle pas beaucoup, préférant observer, analyser, les quelques amitiés que je crée sont durables. Et quand bien même je reste silencieux, vous pouvez être sûr qu'une fois le moment venu, quand vous aurez besoin de mon aide, je serais toujours là pour vous. Je me juge comme quelqu'un de plutôt intelligent, en tout cas observateur et rusé. J'ai appris à me sortir de situation délicate par la ruse, car, contrairement à mon excessif de frère, je suis au plus possible pacifique. Je n'aime pas avoir recourt à la violence, et d'ailleurs je n'aime pas quand les autres font preuve de violence gratuite. C'est à l'encontre de mon caractère. Car c'est seulement après réflexion et en dernier recours que je juge un acte de violence utile. C'est pourquoi je ne supporte pas ces chiens de Rafleurs. Alors que je pars toujours sur une vision positive des gens que je découvre, le moindre signe de violence ou d'agressivité peut me renfermer, ou en tout cas me rendre méfiant. Par contre cela ne veut pas dire que l'ironie et le sarcasme sont des notions inconnues pour moi. Au contraire, j'ai tendance à en user ou en abuser, lorsque quelqu'un commencer à me porter sur les nerfs. C'est disons, mon moyen de défense à moi, ma façon de repousser ceux qui dépassent les limites de ma patience.Je ne pratique par la méchanceté physique, mais, poussé dans mes retranchements, je peux pratiquer la méchanceté verbale. Cependant ce n'est pas courant non plus. Peut-être parce que, à moins de faire preuve d'une stupidité, d'une connerie, dirais-je, totale, et de ne pas voir plus loin que le bout de son nez, il faut beaucoup de temps pour réellement l'énerver et me faire perdre mon sang-froid. Ou alors il faut d'avoir précisément ce qui me fera réagir. Outre tout cela, je sais parfois me montrer aussi intransigeant envers les autres qu'envers moi-même, si une mission se devait être compromise. Je fais parfois remarquer leurs erreurs aux gens, mais ave le plus de tact possible et de façon constructive, parce que je suis le premier à reconnaitre mes erreurs et à vouloir toujours faire mieux. Toujours aller plus loin. C'est une sorte d'obsession, chez moi, de leitmotiv. Il existe cependant certaines personnes à qui je ne pourrais rien refuser. Ma petite soeur Plectrude fait parti de ceux-là. Avec ces personnes là, mon côté très protecteur refais surface, peut-être mon côté niais, aussi. Facilement atteignable. Je devient fragile, faible. Parce qu'au fond, je suis un peu comme ma mère. Un optimiste un peu forcé, pour ne pas tomber dans le désespoir. Tant que je ne regarde pas le vide, je ne tomberais pas.
"Riant pour ne pas trop pleurer de la faiblesse des anges, de la force des chiens"
Biographie
Histoire
Si l'on remonte au tout début, si l'on remonte jusqu'à notre enfance, nous étions des enfants certes différents, mais qui s'entendaient très bien. Notre famille a toujours été une famille très hétéroclite, notre père étant un Natif de la prison, désabusé par les événements qui pouvaient survenir, et légèrement pessimiste. Notre mère, quant à elle, était une jeune Perdue, pleine d'espoir, pleine de vie. Elle avait décidé de toujours voir le bon côté des choses, pour éviter de sombrer dans une dépression sombre. Nous, leurs enfants, étaient leur fierté à eux deux. Avec des tempéraments si différents ! Et pourtant. Nous étions proches, nous étions complices. Nous étions trois frères qui défendions notre petite soeur de toutes de nos forces, celle que l'on surnommait affectueusement le trésor de la famille. Il était là, notre point commun - nous l'aimions tous. Nous avons grandit ainsi, ensemble, menant une vie plutôt heureuse, dans la définition gefängnissienne du mot, c'est à dire sans trop de problèmes. Convenablement, je dirais. Puis le temps passa,et plus nous grandissions, plus nous gagniions en individualité. Nous - les frères - nous éloignions peu à peu les un des autres. J'avais remarqué la nature plutôt violente de notre grand frère, Drogon, et, bien qu'encore jeune, un pressentiment me disait que cela n'évolue fait pas en bien. Je ne pouvais donc pas m'empêcher de le surveiller, de l'épier, et je savais qu'il le savait. Et que ça lui déplaisait. Dans le même temps, le caractère impulsif, spontané de mon frère jumeau, Carloman, autrefois source de grande complémentarité entre nous, me poussait à m'éloigner petit à petit de lui, pour pouvoir trouver le calme et le silence que je ne trouvais pas toujours à ses côtés. Cependant Plectrude, notre petite soeur bien-aimée, que nous couvrions de notre affection, restait notre lien. Ce qui nous maintenait ensemble, autour d'elle, sous le regard de nos parents, qui, somme toute, nous laissaient vivre notre vie. Ils s'étaient peu à peu détachés de nous, pas émotionnellement, mais dans le sens qu'ils avaient comprit que nous étions désormais tous lances sur notre propre voie, et que nous en empêcher était à la fois une mauvaise idée, et parfaitement inutile. C'est dans ce contexte-là que l'incident qui allait provoquer l'explosion de notre petite famille survint. J'avais remarqué l'augmentation progressive de l'agressivité de Drogon, donc ce ne fut pas tout à fait une surprise pour moi. La cause, cependant, nous reste à tous inconnue. Drogon, un soir, nous déclara qu'il avait une annonce à nous faire. Il venait de joindre les Rafleurs, pour une cause, qui, selon lui, était juste, et justifiait parfaitement leur violence. La première réaction vint des parents. Tous deux avaient connu la violence d'une Rafle, ils avaient vu la cruauté perpétrée alors. Ils se dressèrent donc directement contre leur fils aîné, le sommant d'abandonner son idée, que c'était pure folie, ou plutôt pure connerie, et qu'ils ne le laisseraient pas faire. Mais Drogon tenait ferme. J'avais repéré du coin de l'œil mon frère jumeau qui essayait de contenir sa rage grandissante. Il explosa soudainement et ordonna à Drogon de ne plus jamais remettre les pieds dans la maison, de ne plus jamais s'approcher de Plectrude, sans quoi il se ferait un plaisir de le réduire en cendres. Tout cela ne m'atteignait pas vraiment, car c'était somme toute un retournement assez prévisible, bien que le déclencheur de tout cela chez Drogon reste un mystère. Cependant, ça a été un moment de crise qui m'a poussé moi aussi à faire des changements dans ma vie. Je ne pouvais pas rester dans cette maison, au contact de la colère de mon frère jumeau. J'approuvais au fond de moi l'interdiction qu'il avait proféré à l'encontre de Drogon, mais mon côté pacifiste réprouvait ce déchaînement de violence et de haine. C'était, somme toute, le moment idéal pour moi pour partir. Quelques jours plus tard, donc, je fois moi-même mon annonce. Ce ne fut pas une surprise pour eux. Ils connaissaient tous mon désir de découvrir ce monde, ma soif d'exploration. Ils saluèrent donc mon départ qu'ils semblaient approuver d'un "Bonne chance. Et prend soin de toi !" Et ce fut tout. Longtemps j'errais (mais pas dans Césarée), sans trop savoir quoi faire, sans vraiment avoir les moyens d'aller là où mes rêves me poussaient. Je décidais alors de voir plus petit. Avant d'explorer le monde, je me fis un devoir de connaître Close dans ses moindre recoins. Puis je partis à la découverte du quartier Central. Je m'improvisais parfois guide, afin de gagner quelques Gleds, et j'étudiais autant que possible les autres régions, passant plusieurs heures à la bibliothèque, ou en compagnie de ceux qui s'y étaient déjà rendus, en attendant d'avoir les moyens de concrétiser mon rêve. C'est justement au cours d'une de ces discussions que je fis la rencontre qui devait changer le cours de ma vie. J'étais à la taverne, parlant a un parfait inconnu, et je le retrouvais je ne sais comment à lui raconter mon rêve, ma soif de découverte, ma vision du monde. J'allais mêle jusqu'à lui dire min rêve le plus secret, celui de sortir de la Prison. De découvrir ce monde dont les Perdus parlaient tant. IR il se trouve que cet inconnu faisait parti des Rêveurs, groupe dont je ne savais pas grand chose à l'époque. Il le proposa d'en rencontrer les chefs, car il croyait fermement que je pourrais leur être utile. J'acceptai. Après m'être fait expliqué les aspirations et les idéaux des Rêveurs, et avoir découvert qu'ils correspondaient en tout points aux miens, j'acceptai le poste d'explorateur qui m'était proposé sans hésiter une seconde de plus. Ma décision était prise, réfléchie, pesée : c'était là ce que j'avais toujours rêvé. On me donnait enfin la possibilité de réaliser mon rêve, tout en le rendant utile. Et pour ça j'étais plus que reconnaissant à ceux qui étaient devenus en quelque sorte ma nouvelle famille. Une famille dans laquelle j'avais ma place, mon rôle, au milieu de personnes dont je partageais les valeurs. Me voilà donc, quatre ans plus tard, fier explorateur du monde de Gefängnis, et fier Rêveur.
Bouuh encore quelques modifications à faire, des fautes à corriger, mais sinon mon histoire est finiiiiie! MA FICHE AUSSI ! o/
Sujet: Re: Grimoald • Riant pour ne pas trop pleurer de la faiblesse des anges, de la force des chiens Jeu 31 Juil - 20:04
Bienvenue
Tout est parfait, tu as très bien cerné le personnage! :3
Félicitation ! Pour ta validation, tu reçois 10 Gelds, 1 Haut-Fait et une Souricette afin de t'aider à survivre à Gefängnis. Tu peux maintenant aller t'aventurer au cœur de la prison à tes risques et périls. Pense à créer ta fiche de relations, ton inventaire et ton compte-rendu d'objectifs, qui t'aideront à gérer ton personnage.
Et surtout, amuse-toi bien !
Grimoald • Riant pour ne pas trop pleurer de la faiblesse des anges, de la force des chiens